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Missions et objectifs

Vision

Vision

Être un Think Tank de référence en Afrique, catalysant des transformations économiques et sociales porteuses d’un développement durable, inclusif et équitable dans lequel les agricultures familiales joueront un rôle déterminant.

Mission

Contribuer au développement économique et social du Sénégal et de la région ouest africaine par la création d’espaces d’échanges et de débats fondés sur les résultats d’une recherche stratégique et prospective rigoureuse, en lien étroit avec les défis actuels et futurs des économies agricoles ouest africaines et des exploitations familiales en particulier.

Valeurs

Les valeurs de l'IPAR Think tank sont :

Engagement

Dans leur conduite quotidienne, les membres de l’IPAR inscrivent leurs actions dans le sens de l’amélioration des conditions de vie des populations rurales et du développement durable, inclusif et équitable des pays africains

Objectivité

Nos activités sont adossées sur des valeurs d’indépendance, de probité́ de nos chercheurs et d’intégrité́ de nos démarches

Transparence

Nos rapports avec les partenaires et les décideurs reposent sur la transparence. Nous voulons construire et entretenir une relation de confiance avec toutes les parties prenantes à nos actions. Nous sommes responsables des contenus que nous produisons

Responsabilité

Nos activités de recherche et de mise en débat peuvent avoir des effets sur la société. Nous devons en assumer les conséquences éventuelles. C’est pourquoi, nous inscrivons nos interventions dans des principes de mesure et d’imputabilité́. La solidité́ du sentiment d’appartenance à notre organisation, la solidarité́ entre les membres et la confiance mutuelle garantissent l’atteinte des niveaux de responsabilité́ individuelle et collective souhaités

Equité

Nous nous abstenons et œuvrons à éliminer toute discrimination fondée sur le sexe, la hiérarchie de caste, l’ascendance, l’âge, l’appartenance ethnique, politique ou confessionnelle. Nous nous assurons de prendre des décisions qui soient respectueuses des personnes et des droits individuels

Objectifs

L’objectif de IPAR think tank est de contribuer par les résultats de notre recherche à la transformation positive des systèmes de production agricole et rurale pour l’amélioration des conditions de vie des populations du Sénégal et de l’Afrique de l’Ouest.

L’objectif global indiqué se décline en cinq objectifs spécifiques qui sont respectivement pris en charge par cinq axes stratégiques d’intervention:

 

Grâce à des efforts soutenus depuis sa création pour développer une recherche de qualité, IPAR a pu contribuer par ses analyses et les données qu’elle produit à l’amélioration des mécanismes d’élaboration de politiques et de stratégies d’action par des États, des institutions de la sous-région, des projets et des programmes de partenaires techniques et financiers (PTF) et d’organisations de la société civile (OSC). Pour poursuivre sa recherche selon des standards reconnus de qualité IPAR mettra l’accent sur la qualité des ressources humaines par le niveau de recrutement, l’engagement, la formation et l’évaluation des performances.

Mobiliser des ressources humaines de qualité́. Des progrès importants ont été́ enregistrés dans la mise à̀ disposition de ressources humaines de qualité́ qui sont mobilisées sur des thématiques de recherche pertinentes. Il importe de maintenir cette dynamique qui s’est renforcée sur toute la période de mise en œuvre du plan stratégique 2017-2021. Il s’agira, dans le cadre du nouveau plan stratégique, de continuer à investir dans la formation des jeunes et d’élargir la base de partenariat au plan scientifique en s’ouvrant davantage aux chercheurs confirmés tout en valorisant le statut de chercheur associé.

L’IPAR a testé et réussi à promouvoir un mécanisme d’évaluation par les pairs qui participe de la gouvernance globale du système avec un effort innovant d’institutionnalisation de la démarche qualité́. Un protocole a été́ défini dans ce cadre pour assurer le contrôle de qualité́ des documents internes par les pairs. Toutefois, le défi de contrôle de qualité́ des documents produits reste d’actualité́. Il s’agit là d’une activité́ majeure qu’il importe de consolider pour intensifier la production scientifique et la maintenir à un haut niveau.

Assurer la veille stratégique et prospective. D’importants efforts ont été́ consentis pour positionner constamment l’IPAR sur son coeur de métier qui fonde sa raison d’être. L’exigence d’avoir un mécanisme de veille participe d’une logique d’anticipation par laquelle l’institution se positionne comme un acteur majeur de changement. En effet, l’organisation a investi un domaine dans lequel les évolutions sont rapides et complexes. Il s’agit, par conséquent, de travailler à̀ renforcer sa capacité d’anticipation et créer ainsi les conditions d’influencer les dynamiques de développement en cours aux plans national, régional et international.

C’est en renforçant sa fonction de veille stratégique et prospective que l’IPAR pourrait contribuer davantage à̀ accompagner les transformations qui permettront à l’agriculture sénégalaise et régionale notamment aux exploitations familiales de relever les défis auxquels elles sont confrontées.

La collecte et l’analyse de données probantes, issues de la recherche est un élément essentiel pour engager le dialogue, proposer des solutions pertinentes et in fine favoriser l’élaboration et la mise en oeuvre de politiques publiques plus inclusives, plus efficaces et plus efficientes. En tant qu’acteur privilégié du monde de la recherche, l’IPAR souhaite renforcer ses capacités, mais aussi celles de ses partenaires dans leur habilitation à mener des recherches pertinentes et à produire des données probantes.

Dans cette perspective, l’IPAR accompagnera les organisations de la Société Civile, notamment les organisations paysannes, dans l’élaboration et la mise en oeuvre de leur programme de suivi pour générer des données probantes, leur permettant de développer leurs propres visions et argumentaires sur des enjeux majeurs.

Parallèlement, l’IPAR pourra se positionner comme un acteur à même d’accompagner les États (gouvernement, parlement, élus locaux, le secteur privé ..) de la sous-région, dans la définition d’outils, de démarches de recherche et d’analyse, mais aussi de Prospective, qui leur permettront de développer leur propre analyse, seul ou en partenariat, afin de pouvoir prendre des décisions sur la base de données probantes et endogènes.

In fine, le renforcement des capacités des acteurs de changement à partir des résultats de la recherche, sera un axe de travail essentiel pour l’IPAR. Il sera aussi la base du travail de Dialogue Politique, qui constituera le troisième axe de travail de l’IPAR.

Mobiliser des ressources humaines de qualité́. Des progrès importants ont été́ enregistrés dans la mise à̀ disposition de ressources humaines de qualité́ qui sont mobilisées sur des thématiques de recherche pertinentes. Il importe de maintenir cette dynamique qui s’est renforcée sur toute la période de mise en œuvre du plan stratégique 2017-2021. Il s’agira, dans le cadre du nouveau plan stratégique, de continuer à investir dans la formation des jeunes et d’élargir la base de partenariat au plan scientifique en s’ouvrant davantage aux chercheurs confirmés tout en valorisant le statut de chercheur associé.

L’IPAR a testé et réussi à promouvoir un mécanisme d’évaluation par les pairs qui participe de la gouvernance globale du système avec un effort innovant d’institutionnalisation de la démarche qualité́. Un protocole a été́ défini dans ce cadre pour assurer le contrôle de qualité́ des documents internes par les pairs. Toutefois, le défi de contrôle de qualité́ des documents produits reste d’actualité́. Il s’agit là d’une activité́ majeure qu’il importe de consolider pour intensifier la production scientifique et la maintenir à un haut niveau.

Assurer la veille stratégique et prospective. D’importants efforts ont été́ consentis pour positionner constamment l’IPAR sur son coeur de métier qui fonde sa raison d’être. L’exigence d’avoir un mécanisme de veille participe d’une logique d’anticipation par laquelle l’institution se positionne comme un acteur majeur de changement. En effet, l’organisation a investi un domaine dans lequel les évolutions sont rapides et complexes. Il s’agit, par conséquent, de travailler à̀ renforcer sa capacité d’anticipation et créer ainsi les conditions d’influencer les dynamiques de développement en cours aux plans national, régional et international.

C’est en renforçant sa fonction de veille stratégique et prospective que l’IPAR pourrait contribuer davantage à̀ accompagner les transformations qui permettront à l’agriculture sénégalaise et régionale notamment aux exploitations familiales de relever les défis auxquels elles sont confrontées.

Cet axe vise à̀ amener les parties prenantes, notamment l’Etat, le secteur privé et la société́ civile, à dialoguer autour d’enjeux de développement rural, au Sénégal et en Afrique de l’Ouest, qui intègrent le rôle et la place des Exploitations Familiales. Sur la base des recherches et des analyses qui seront produites par ses différents partenaires (Axe 2), l’IPAR les appuiera à valoriser leurs travaux de recherche de manière systématique dans la définition de stratégies de dialogue et de plaidoyer.

Pour bâtir ses interventions sur des principes d’équité, l’IPAR devra anticiper sur les risques d’asymétrie dans le jeu des acteurs en travaillant à renforcer de manière globale leurs capacités à dialoguer et en créant des opportunités et des espaces favorables à des échanges directs, francs et empreints de respect et loyauté entre les parties prenantes.
IPAR accompagnera et soutiendra ces processus en mettant à disposition ses résultats de recherche, la synthèse des évidences, et ses savoirs faire en matière de modération de débats. Les actions à développer couvriront la sensibilisation, la capitalisation d’expériences et le développement de supports de diffusion des résultats de la recherche. La mise sur pied d’une composante de gestion des connaissances s’inscrit dans cette démarche.

Mobiliser des ressources humaines de qualité́. Des progrès importants ont été́ enregistrés dans la mise à̀ disposition de ressources humaines de qualité́ qui sont mobilisées sur des thématiques de recherche pertinentes. Il importe de maintenir cette dynamique qui s’est renforcée sur toute la période de mise en œuvre du plan stratégique 2017-2021. Il s’agira, dans le cadre du nouveau plan stratégique, de continuer à investir dans la formation des jeunes et d’élargir la base de partenariat au plan scientifique en s’ouvrant davantage aux chercheurs confirmés tout en valorisant le statut de chercheur associé.

L’IPAR a testé et réussi à promouvoir un mécanisme d’évaluation par les pairs qui participe de la gouvernance globale du système avec un effort innovant d’institutionnalisation de la démarche qualité́. Un protocole a été́ défini dans ce cadre pour assurer le contrôle de qualité́ des documents internes par les pairs. Toutefois, le défi de contrôle de qualité́ des documents produits reste d’actualité́. Il s’agit là d’une activité́ majeure qu’il importe de consolider pour intensifier la production scientifique et la maintenir à un haut niveau.

Assurer la veille stratégique et prospective. D’importants efforts ont été́ consentis pour positionner constamment l’IPAR sur son coeur de métier qui fonde sa raison d’être. L’exigence d’avoir un mécanisme de veille participe d’une logique d’anticipation par laquelle l’institution se positionne comme un acteur majeur de changement. En effet, l’organisation a investi un domaine dans lequel les évolutions sont rapides et complexes. Il s’agit, par conséquent, de travailler à̀ renforcer sa capacité d’anticipation et créer ainsi les conditions d’influencer les dynamiques de développement en cours aux plans national, régional et international.

C’est en renforçant sa fonction de veille stratégique et prospective que l’IPAR pourrait contribuer davantage à̀ accompagner les transformations qui permettront à l’agriculture sénégalaise et régionale notamment aux exploitations familiales de relever les défis auxquels elles sont confrontées.

La pertinence et l’efficacité́ des interventions de l’IPAR ainsi que sa crédibilité sont largement tributaires de sa gouvernance institutionnelle. Celle-ci dépend et traduit en même temps la fonctionnalité des organes de pilotage et l’engagement des membres dans la vie de l’organisation. Le présent plan stratégique accorde une grande importance à la redynamisation de la vie associative et au bon fonctionnement des organes.

      • L’Assemble Générale (A.G)

En dépit des acquis importants enregistrés depuis quelques années, des efforts soutenus doivent être déployés pour assurer le fonctionnement régulier des différents organes de l’IPAR (AG, CA, Direction exécutive). Si la Direction Exécutive s’est considérablement renforcée avec l’appui du CA, les assemblées générales ne se sont pas tenues régulièrement tous les ans. A terme, ce dysfonctionnement pourrait fragiliser le fonctionnement de l’IPAR. Renforcer l’AG en garantissant ses rencontres régulières à date échue et revitaliser la vie de l’Association apparaissent comme des éléments essentiels pour garantir la vitalité de l’IPAR.

L’implication des membres de l’IPAR dans les débats scientifiques de la Direction Exécutive ainsi que sur ses approches et actions, à la recherche d’acteurs et d’alliés et de ressources financières pour le fonctionnement de l’institution seront un point à renforcer durant ce nouveau plan stratégique. Des efforts soutenus devront être poursuivis pour améliorer les relations fonctionnelles entre les organes : AG, CA, Direction exécutive.

      • Le Conseil d’Administration (C.A)

Le CA doit être redynamisé par :

La révision de sa composition à travers la cooptation de compétences pertinentes par rapport aux orientations et aux enjeux ;
La définition d’un agenda de travail valorisant les compétences du CA en matière de contribution à la valorisation des acquis de recherche, de mise en relation avec des partenaires potentiels pour la collaboration dans les activités et pour le financement, et de relance de la vie associative ;
Le respect du calendrier statutaire (tenue régulière des instances statutaires
Le renforcement de la communication, de l’information et des échanges entre le CA et la DE.
      • La Direction Exécutive (D.E)

La DE s’est régulièrement renforcée au cours de précédents plans en se dotant d’une équipe de chercheurs et d’administratifs dont les résultats témoignent de leurs compétences et leur engagement. Cette évolution a été possible grâce à l’augmentation du nombre et la diversification des partenaires et des sources de financement. Maintenir cette croissance ou le niveau actuel devient un défi dans le nouveau contexte. La DE devra se doter des instruments d’une gouvernance administrative et financière qui répondent aux standards les plus élevés en termes d’efficacité, de transparence et de lisibilité.

Des efforts importants ont été consentis pour réactualiser les procédures administratives et financières et les adapter à l’exigence de transparence et de redevabilité́. L’IPAR s’est en effet dotée d’un manuel de procédures administratives et financières et a renforcé́ son personnel administratif. Les acquis ainsi enregistrés devront être maintenus et renforcés dans le cadre de la nouvelle stratégie. Dans cette perspective, il s’agira de travailler à̀ assurer l’alignement des procédures de gestion aux exigences des membres de l’IPAR et de leurs partenaires techniques et financiers, selon une logique qui associe transparence, rigueur et flexibilité́ et qui répond aux standards de qualité les plus élevés chez les partenaires, pour accéder à de nouvelles ressources.

      • Promouvoir la stabilité et durabilité́ institutionnelle de l’IPAR

L’IPAR est une organisation encore relativement jeune dont les interventions sont encore largement dépendantes de financements extérieurs. Cette situation pourrait, à terme, entamer l’autonomie de l’organisation et la mettre dans des situations de vulnérabilité́ face à̀ des chocs imprévus. Il s’agit, donc, à travers cet axe, de permettre à̀ l’institution de garantir la durabilité́/pérennité́ de ses actions en développant des capacités de mobilisation de ressources internes et de financement propre pour faire face à̀ des situations imprévisibles et soutenir des chocs.

L’élaboration en cours d’une stratégie et d’un plan de mobilisation des ressources et la formation des administrateurs de l’IPAR dans le sens de la mobilisation des ressources constituent des signaux encourageants dans le processus d’autonomisation financière de l’IPAR.

Dans cette perspective, l’IPAR accompagnera les organisations de la Société Civile, notamment les organisations paysannes, dans l’élaboration et la mise en oeuvre de leur programme de suivi pour générer des données probantes, leur permettant de développer leurs propres visions et argumentaires sur des enjeux majeurs.

Parallèlement, l’IPAR pourra se positionner comme un acteur à même d’accompagner les États (gouvernement, parlement, élus locaux, le secteur privé ..) de la sous-région, dans la définition d’outils, de démarches de recherche et d’analyse, mais aussi de Prospective, qui leur permettront de développer leur propre analyse, seul ou en partenariat, afin de pouvoir prendre des décisions sur la base de données probantes et endogènes.

In fine, le renforcement des capacités des acteurs de changement à partir des résultats de la recherche, sera un axe de travail essentiel pour l’IPAR. Il sera aussi la base du travail de Dialogue Politique, qui constituera le troisième axe de travail de l’IPAR.

Mobiliser des ressources humaines de qualité́. Des progrès importants ont été́ enregistrés dans la mise à̀ disposition de ressources humaines de qualité́ qui sont mobilisées sur des thématiques de recherche pertinentes. Il importe de maintenir cette dynamique qui s’est renforcée sur toute la période de mise en œuvre du plan stratégique 2017-2021. Il s’agira, dans le cadre du nouveau plan stratégique, de continuer à investir dans la formation des jeunes et d’élargir la base de partenariat au plan scientifique en s’ouvrant davantage aux chercheurs confirmés tout en valorisant le statut de chercheur associé.

L’IPAR a testé et réussi à promouvoir un mécanisme d’évaluation par les pairs qui participe de la gouvernance globale du système avec un effort innovant d’institutionnalisation de la démarche qualité́. Un protocole a été́ défini dans ce cadre pour assurer le contrôle de qualité́ des documents internes par les pairs. Toutefois, le défi de contrôle de qualité́ des documents produits reste d’actualité́. Il s’agit là d’une activité́ majeure qu’il importe de consolider pour intensifier la production scientifique et la maintenir à un haut niveau.

Assurer la veille stratégique et prospective. D’importants efforts ont été́ consentis pour positionner constamment l’IPAR sur son coeur de métier qui fonde sa raison d’être. L’exigence d’avoir un mécanisme de veille participe d’une logique d’anticipation par laquelle l’institution se positionne comme un acteur majeur de changement. En effet, l’organisation a investi un domaine dans lequel les évolutions sont rapides et complexes. Il s’agit, par conséquent, de travailler à̀ renforcer sa capacité d’anticipation et créer ainsi les conditions d’influencer les dynamiques de développement en cours aux plans national, régional et international.

C’est en renforçant sa fonction de veille stratégique et prospective que l’IPAR pourrait contribuer davantage à̀ accompagner les transformations qui permettront à l’agriculture sénégalaise et régionale notamment aux exploitations familiales de relever les défis auxquels elles sont confrontées.